Publié dans Libération, 19/06/2004. La force de certaines philosophies tient aux paradoxes qu’elles sont capables d’adopter, d’endurer et de rendre féconds. C’est le cas chez Foucault : si ses concepts peuvent infuser la réflexion contemporaine, il le doivent à une triple torsion imprimée, dans ses livres, au geste de penser. Torsion,d‘abord, du style : Foucault invente une […]
(2002) – Du vocabulaire policier à la technique et l’art, itinéraire d’un concept foucaldien.
(2009) – Sur les derniers cours de Foucault (Entretien).
(2011) Castoriadis, Foucault : le souci de la Grèce.
(2013) Le sujet chez Michel Foucault est-il singulier ou pluriel ?
(2010) – Pour Kant, la guerre est ce dont l’avenir permet d’envisager la fin ; pour Foucault, elle est ce que l’on n’a pas encore commencé de penser.
(2018) – Conférence proposée dans le cadre du Banquet d’été, Lagrasse.
(2009) – Exemplaire de la pratique philosophique de Foucault, son dernier cours contribue à transformer la compréhension de son oeuvre : au plus loin de tout « dandysme », la recherche d’une esthétique de l’existence y noue des liens inattendus avec l’idée de vie, l’exigence de vérité et la transformation du monde.
(2016) – Intervention lors du séminaire de P.Boucheron, Collège de France.
(2005) – Intervention dans le cadre de la journée « Michel Foucault, travaux actuels », ENS.